Fessée pour une balle de tennis

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il y a 5 ans

C'était pendant l'été. Je passais beaucoup de temps au Club de Tennis de la ville. J'admirais un jeune joueur, un peu plus âgé que moi. Je cherchais à attirer son attention en vain.

Ce matin d'été, il faisait déjà chaud quand l'objet de mes désirs entra sur le cours avec un autre garçon. Autant le second était quelconque, autant ce jeune garçon blond coiffé à la mode, vêtu d'un tee-shirt flashy sur un bermuda léger était admirable. Ce matin là, j'avais décidé de me faire remarquer. Les échanges étaient équilibrés, mais à chaque fois que ce beau blond gagnait un point, j'applaudissais. La première fois il s'est retourné vers moi, a souri, puis a repris le cours du jeu, mais sans plus se retourner. Son sourire avait été comme une lance et avait pénétré au fond de mon cœur. Il fallait absolument que je trouve quelque chose d'autre. C'est alors que par maladresse le garçon brun envoya la balle au-delà du grillage du terrain, je me précipitai pour la récupérer, c'est alors que le beau blond lui dit de faire attention parce que c'était la seule balle qu'ils avaient. Je rendis la balle les laissant parler, j'appris que cette fameuse balle appartenait à Maxime, c'est ainsi que le brun appela mon beau prince blond.

Cette fois, c'était décidé, il me fallait cette balle. Mais comment faire ? Rien puisque cette fois-ci c'est Maxime qui l'envoya hors du terrain.

Je me précipitai de nouveau, mais sans l'intention de la rendre. Je saisis la balle jaune et filai prendre mon vélo sous les cris de mon prince qui me demandait de leur rendre mon fétiche. Je courrai aussi vite que je le pouvais, enfourchai mon vélo et partis à toute vitesse.

J'avais réussi, puisqu'il ne faisait pas attention à moi et bien tant pis, j'avais quand même réussi à ce qu'il me remarque et en plus j'avais dans ma poche un objet qui lui appartenait.

Je ne sais pas ce qui m'a poussé à me retourner, mais en le faisant j'ai aperçu Maxime sur un vélo qui avait entrepris de me poursuivre. Je pris peur, me sentant mal à l'aise, j'accélérai le plus vite possible. Je regrettai ma plaisanterie, d'autant plus qu'il gagnait du terrain, inexorablement. Je ne pouvais pas m'échapper. Je retirai la balle de ma poche d'une main, manquant de tomber, et la lançai dans sa direction. Si je la lui rendais, il allait me laisser tranquille et abandonner la poursuite. Il a juste fait un écart, mais ne s'est même pas arrêté récupérer sa satanée balle. A bout de souffle, je pédalai en criant. Je cessai bien vite car cela m'empêchait de pédaler aussi vite que je l'aurais voulu. Quand il arriva à ma hauteur, je tournai brusquement à droite, quittant la route principale pour m'enfoncer dans les bois par un chemin de terre.

Je le voyais plus derrière moi, je me sentis beaucoup mieux et me mis à ralentir. Je n'aurais pas dû car je le vis arriver à toute allure. Je tentai de reprendre mon rythme, mais ne le pût. Il saisit fermement le guidon de mon vélo. Il était en sueur, toujours aussi beau, mais il me faisait peur et sans réfléchir, je me mis à l'insulter. Pas rien qu'un peu, une bordée d'injures, comme si j'avais été un vieux marin ayant vécu plusieurs vies. Je n'écoutais même pas ce qu'il disait.

Il me tenait par les épaules et me secouait. Je fis un effort pour me contrôler et c'est là que je l'entendis me faire la morale. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. Il m'entraîna vers une souche d'arbre, je tentai de lui donner un coup de pied là où cela lui ferait très mal, je ne réussis qu'à l'énerver encore un peu plus.

Il s'assit sur la souche, et sans comprendre comme cela était arrivé, je réalisai que je n'avais plus d'horizon que le sol. J'étais en travers de ses genoux. Il maintenait une de mes mains dans mon dos, je ne pouvais pas bouger. Après tant d'efforts, c'était un moment bizarre, presque plus de bruit, juste nos souffles. J'avais peur de ce qui allait suivre, dans cette position, il n'allait tout de même pas...

Je demandai pardon, promettant de ne plus jamais voler quoi que ce soit.

D'une voix calme, il m'expliqua que j'avais cumulé les bêtises, le vol de la balle, la fuite, lui lancer la balle dessus, et en plus l'insulter.

Je me sentais très mal à l'aise, au fond de moi, je savais qu'il avait raison. Mais j'avais honte aussi, il y avait quelques minutes, j'admirais mon beau prince charmant et là en travers de ses genoux, je me sentais en grand danger de recevoir une leçon. Personne dans cette forêt ne pouvait m'entendre et je ne pouvais plus rien faire.

C'est alors que je sentis sa main claquer mes fesses, je n'eus pas le temps d'avaler une brade bouffée d'air qu'elle retomba au même endroit. Je n'avais jamais reçu de fessée et la douleur me paraissait terrible. Je ne savais pas encore. Sa main retomba, parfois encore au centre, parfois à droite, à gauche, partout. Je recevais une punition terrible, je remuais le plus que je pouvais, mais sa main frappait toujours sa cible. Mes cris avaient repris, et malgré tous mes efforts je sentais les larmes monter à mes yeux. Une ou deux roulèrent sur mes joues.

Il cessa, je crus à ma délivrance, mais il glissa sa main dans mon short et le tira sur mes jambes. J'hurlais « NNOOOON », je ne sais combien de fois, mais bien en vain. Il m'ordonna d'arrêter, me trouvant sans doute pas assez rapide, il saisit le dernier rempart de ma pudeur et me déculotta complètement. Quelle honte ! Mais quelle douleur aussi, car la fessée reprit aussitôt. Les claques sur la peau nue sont bien plus sonores et douloureuses. Je ne pus retenir mes larmes qui coulèrent mouillant le sol que l'eau me faisait voir trouble.

Je ne sais pas combien de temps la fessée dura, probablement pas très longtemps, mais pour moi ces secondes étaient une éternité. Quand enfin il cessa, il m'aida à me relever. Je ne réalisai pas tout de suite que j'étais là debout, en pleurs, les mains plaquées sur mes fesses si douloureuses. Je ne réalisai que lorsqu'il me tendit mes vêtements que mes gesticulations avaient expédiés plus loin. Je cachai de cacher l'essentiel, ce qui le fit sourire. Malgré tout ce qui s'était passé, j'admirais toujours son sourire. Je me rhabillai bien vite en essayant de montrer le minimum.

Je ne sais pas si il crut me rassurer ou voulut prouver son pouvoir sur moi, mais il me dit que je n'avais plus rien à cacher, que sur ses genoux je gesticulai comme une grenouille. L'idée même qu'il avait profité de la correction, que je reconnaissais avoir finalement méritée, pour découvrir mon intimité me fit rougir les joues. Les fesses, ce ne pouvait plus être possible. Mais si je méritais une punition, une seule personne sur terre pouvait me l'administrer, mon prince charmant. J'étais à mes rêveries quand mon short serra mes fesses, réactivant la douleur. Cela le fit rire, il s'approcha et me prit dans ses bras. Je me laissais faire. Il me parlait doucement, ses mains caressant mon dos et s'égarant même sur le lieu de leur forfait. Cela peut sûrement paraître étrange, mais j'aimais sa main caressant mes fesses meurtries, j'ai moins aimé lorsque pour mettre fin à la scène il me donna une petite tape sur mon pauvre postérieur.

Il me tendit mon vélo et me fit reprendre le chemin du club de tennis à la recherche de sa balle. J'avais mal les fesses sur la selle et il s'en aperçut, me conseillant de pédaler debout. Ce que je fis. Je compris bien vite que dans son paysage, il y avait juste devant lui, une paire de fesses bien punies et moulées dans un short qu'il avait baissé quelques minutes plus tôt.

Je me retournai, il me sourit, je crus même voir qu'il rougit un peu.

On retrouva enfin sa balle et je me proposai pour la ramener au club, ce qu'il accepta. Je repris la route debout devant lui, exposant mes fesses, cette fois avec plaisir.

Ce n'était pas comme à ça que j'avais imaginé les choses, mais Maxime, mon beau prince blond avait remarqué mon existence et ce n'était que le début de l'été et des vacances.

Amandine

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